Soigner les immigrants grâce aux interprètes et aux pictogrammes

mardi 27 août 2019 | Actualités

Puisqu’en Estrie, deux des langues les plus parlées par les immigrants sont l’arabe et le dari, ces ressources s’avèrent précieuses.



Interprètes : plus de 10 000 interventions chaque année

La présence d’un interprète facilite la communication et évite les incompréhensions entre les professionnels de la santé et la clientèle qui ne parle pas le français. Les interprètes du Service d’aide aux Néo-Canadiens (SANC) et de Solidarité ethnique régionale de la Yamaska (SERY) sont très précieux pour les nouveaux arrivants ou les personnes qui sont établies dans la région depuis peu de temps.
« Être interprète, c’est non seulement faciliter et permettre la communication entre la clientèle immigrante et les professionnels travaillant auprès d’elle, mais c’est aussi avoir le privilège d’assister ces personnes dans leur cheminement. C’est côtoyer des gens courageux et inspirants et d’être témoin de leur processus de deuil, d’adaptation et d’intégration. » - David Lessard, interprète

Mots pour maux, un recueil facilitant la communication

Briser les barrières de la langue avec des images

À l'aide d'un recueil de pictogramme, les professionnels de la santé et les usagers peuvent mieux communiquer entre eux. L’outil MOTS pour MAUX permet d’identifier un problème, de comprendre et de visualiser les actions qui seront posées. Il permet aux différents professionnels de communiquer efficacement avec la clientèle qui ne parle pas le français.

Mots pour Maux : quatre langues traduites
Ce recueil compte quatre langues traduites ainsi qu’un volet sur la santé psychologique. Les langues les plus fréquemment parlées par la clientèle immigrante sont : l’anglais, l’espagnol, l’arabe et le dari.

Des outils essentiels pour une intégration réussie!

Extrait du recueil Mots pour maux



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